!! Ce blog n'est plus mis à jour !! Nous le laissons en ligne pour les archives !!

samedi 20 juin 2009

Création 399 secondes

Voilà !


Pour les agendas par encore remplit...


Salle Guy Parigot

du jeudi 05 novembre 2009 au mardi 17 novembre 2009
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jeudi 05 novembre 2009 à 21:30
vendredi 06 novembre 2009 à 21:30
samedi 07 novembre 2009 à 18:00
mardi 10 novembre 2009 à 21:30
mercredi 11 novembre 2009 à 18:00
jeudi 12 novembre 2009 à 21:30
vendredi 13 novembre 2009 à 21:30
samedi 14 novembre 2009 à 18:00
lundi 16 novembre 2009 à 20:00
mardi 17 novembre 2009 à 21:30

Relâches

dimanche 08 novembre 2009 en relâche
lundi 09 novembre 2009 en relâche
dimanche 15 novembre 2009 en relâche

Et encore voilà !

Théâtre ouvert.

18 janvier - 6 février -
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Création 399 secondes
de Fabrice Melquiot
mise en scène Stanislas Nordey
avec les élèves de la 6ème promotion de l’école du Théâtre National de Bretagne

Une variation autour du thème de la post-adolescence qui aborde, à travers une dizaine de personnages d’origines et vécus différents, la difficulté à faire face à son destin. Tiraillés par leurs désirs, leur désespoir et leurs émois amoureux, ces jeunes venus des quatre coins de l’Europe et du pays des ombres se retrouveront à Shanghaï durant une éclipse.

Coproduction Théâtre National de Bretagne, Théâtre Ouvert

jeudi 18 juin 2009

F A C

Parfois on se ronge les doigts tellement on s'ennui
Parfois on fait semblant d'être heureux



Parfois on voudrait être un Citron, à deux

Parfois on a sommeil

Parfois celui qui se ronge les doigts donne envie à celle d'à côté (qui n'a plus de doigts) de songer à une autre partie du corps

Plus jamais ça

lundi 8 juin 2009

ConcoursTNB : c'est parti !

Pour le concours 2012 : Cliquer ici.

Voilà. 2009 est là.
Le concours des prochains arrivants est lancé ! Bonne chance à tous...

"Nous voulons de la vie au théâtre, et du théâtre dans la vie."
Jules Renard...

mercredi 3 juin 2009

En pleine présentation !

Réservation obligatoire...

Bon courage à nous tous ! 

Atelier dirigé par Christine Letailleur

TNB – Studio Ecole/4ème

(durée prévue 2h)
Mardi 2 et mercredi 3 juin à 20h30

Jeudi 4 à 20h30

Vendredi 5 à 18h

Samedi 6 à 19h30


Le Banquet de Platon

ou l'éloge de l'Amour…


Adaptation et mise en scène de Christine Letailleur

Assistant adaptation : Manuel Garcie-Kilian


Avec Benjamin Barou-Crossman, Marine De Missolz, Manuel Garcie-Kilian, Jonathan Genet, Simon Le Moullec, Julien Polet

C'est avec un groupe de jeunes comédiens que j’ai souhaité interroger l'un des dialogues les plus connus de Platon, Le Banquet, afin de faire entendre l'insolence de sa pensée philosophique et toute sa modernité.

Nous sommes à Athènes, il y a 2500 ans… Le bel Agathon organise, pour fêter son succès au concours de tragédies, un banquet au cours duquel, lui, et chacun de ses invités, Phèdre, Pausanias, Aristophane, Socrate… prononcera un éloge de l'amour. Ils s'allongent sur des lits, boivent, parlent de la plus belle des façons, et avec la plus grande des libertés, de l'amour ; ils font des rêves de républiques qui n’existent pas…

Faire entendre le raisonnement philosophique ; l'éloquence et la virulence politique de ces discours ; la fantaisie, l'élégance et le style de la langue ; le banquet comme un badinage philosophique ; la philosophie dans une joute érotique : telle fut, avec cette équipe de jeunes acteurs, ma prétention.

Christine Letailleur.


Atelier dirigé par Nadia Xerri-L.

TNB – Salle Guy Parigot

(durée prévue 2h)
Mercredi 3 juin à 20h30

Jeudi 4 à 18h

Vendredi 5 à 20h30

Samedi 6 à 17h

Les Mains d’Edwige au moment de la naissance de Wajdi Mouawad

Mise en scène de Nadia Xerri-L.


Scénographie de Caroline Foulonneau


Avec David Botbol, Christelle Burger, Laurent Cazanave, Yoan Charles, Julie Duchaussoy, Vanille Fiaux


C’est au travers d’un travail sur la langue et l’interprétation d’acteurs que Nadia Xerri-L. envisage la conduite de son atelier. Poursuivant leur découverte d’auteurs contemporains par une confrontation à l’écriture singulière et saisissante de Wajdi Mouawad, les jeunes interprètes sont appelés à « donner à vivre », par le geste amoureux du jeu, la tragédie qui se tisse dans Les Mains d’Edwige. Celle-ci attend le retour désespéré de sa sœur Esther disparue depuis 10 ans et refuse de participer aux funérailles fictives que sa famille organise au salon pour elle, préférant s’enfermer dans la cave… Lors de cette nouvelle rencontre, c’est dans le passage au Verbe incarné que chacun pourra investir l’émotion rendue par « l’équilibre magnifique mais périlleux » du comédien au plateau, équilibre fragile qui renvoie à notre humanité commune.