Réservation obligatoire...
Bon courage à nous tous !
Atelier dirigé par Christine Letailleur
TNB – Studio Ecole/4ème
(durée prévue 2h)
Mardi 2 et mercredi 3 juin à 20h30
Jeudi 4 à 20h30
Vendredi 5 à 18h
Samedi 6 à 19h30
Le Banquet de Platon
ou l'éloge de l'Amour…
Adaptation et mise en scène de Christine Letailleur
Assistant adaptation : Manuel Garcie-Kilian
Avec Benjamin Barou-Crossman, Marine De Missolz, Manuel Garcie-Kilian, Jonathan Genet, Simon Le Moullec, Julien Polet
C'est avec un groupe de jeunes comédiens que j’ai souhaité interroger l'un des dialogues les plus connus de Platon, Le Banquet, afin de faire entendre l'insolence de sa pensée philosophique et toute sa modernité.
Nous sommes à Athènes, il y a 2500 ans… Le bel Agathon organise, pour fêter son succès au concours de tragédies, un banquet au cours duquel, lui, et chacun de ses invités, Phèdre, Pausanias, Aristophane, Socrate… prononcera un éloge de l'amour. Ils s'allongent sur des lits, boivent, parlent de la plus belle des façons, et avec la plus grande des libertés, de l'amour ; ils font des rêves de républiques qui n’existent pas…
Faire entendre le raisonnement philosophique ; l'éloquence et la virulence politique de ces discours ; la fantaisie, l'élégance et le style de la langue ; le banquet comme un badinage philosophique ; la philosophie dans une joute érotique : telle fut, avec cette équipe de jeunes acteurs, ma prétention.
Christine Letailleur.
Atelier dirigé par Nadia Xerri-L.
TNB – Salle Guy Parigot
(durée prévue 2h)
Mercredi 3 juin à 20h30
Jeudi 4 à 18h
Vendredi 5 à 20h30
Samedi 6 à 17h
Les Mains d’Edwige au moment de la naissance de Wajdi Mouawad
Mise en scène de Nadia Xerri-L.
Scénographie de Caroline Foulonneau
Avec David Botbol, Christelle Burger, Laurent Cazanave, Yoan Charles, Julie Duchaussoy, Vanille Fiaux
C’est au travers d’un travail sur la langue et l’interprétation d’acteurs que Nadia Xerri-L. envisage la conduite de son atelier. Poursuivant leur découverte d’auteurs contemporains par une confrontation à l’écriture singulière et saisissante de Wajdi Mouawad, les jeunes interprètes sont appelés à « donner à vivre », par le geste amoureux du jeu, la tragédie qui se tisse dans Les Mains d’Edwige. Celle-ci attend le retour désespéré de sa sœur Esther disparue depuis 10 ans et refuse de participer aux funérailles fictives que sa famille organise au salon pour elle, préférant s’enfermer dans la cave… Lors de cette nouvelle rencontre, c’est dans le passage au Verbe incarné que chacun pourra investir l’émotion rendue par « l’équilibre magnifique mais périlleux » du comédien au plateau, équilibre fragile qui renvoie à notre humanité commune.
Vous devez être en plein dedans, mais bon courage quand même à vous tous !
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