L'indestructible Madame Richard Wagner
Performeur, poète, ex-prof de philo, Christophe Fiat, écrivain associé au T2G et aux ateliers d’écriture et de lecture, propose une version radicale et neuve du geste théâtral, avec les outils du rock et de la poésie sonore. Avec ce spectacle, Christophe Fiat reconstitue l’histoire de la première femme à avoir considéré l’art comme un pouvoir d’émancipation de la condition féminine.
ENTRETIEN AVEC CHRISTOPHE FIAT
Quels désirs président à ton travail sur le plateau ?
Proposer un parcours qui soit de l’ordre de la démystification. J’aimerais que les spectateurs ressentent un choc critique, un choc de l’intelligence à travers ce qui est montré et entendu sur le plateau.
Quelles idées à l’origine de ce projet ?
Je viens d’un monde où la seule scène qui existe, c’est le rock. L’émotion rock, c’est d’éprouver de l’empathie pour des gens qui ont du charisme et sont là, sur scène, pour produire des effets de toutes sortes. Je travaille avec des comédiens et souhaite vraiment qu’ils assument sur le plateau leur charisme personnel.
Qu’est-ce que ça révèle ?
J’aime qu’il y ait énormément de texte, qu’il fonctionne sous une forme cumulative, voire torrentielle. Que les spectateurs se fassent auditeurs, qu’ils soient totalement submergés, obnubilés par le texte. Je souhaite aussi leur offrir des espaces de retrait pour qu’ils se fassent leur propre avis.
La place de cette pièce dans ton parcours ?
Ça n’a rien à voir avec mes créations précédentes. J’avais le désir de consacrer plus de temps à la mise en scène et ce spectacle est le premier où je travaille avec des comédiens.
Ton urgence ou tes attentes à présenter ce travail aux spectateurs du T2G ?
J’aime l’idée d’inscrire mon propos dans un lieu qui en termes de limite, se définit comme réunissant et absorbant ce qui se fait aujourd’hui en art, en littérature, en danse, en théâtre.
Propos recueillis par Patrick Sourd
DISTRIBUTION
Texte et mise en scène : Christophe Fiat
Performeur, poète, ex-prof de philo, Christophe Fiat, écrivain associé au T2G et aux ateliers d’écriture et de lecture, propose une version radicale et neuve du geste théâtral, avec les outils du rock et de la poésie sonore. Avec ce spectacle, Christophe Fiat reconstitue l’histoire de la première femme à avoir considéré l’art comme un pouvoir d’émancipation de la condition féminine.
ENTRETIEN AVEC CHRISTOPHE FIAT
Quels désirs président à ton travail sur le plateau ?
Proposer un parcours qui soit de l’ordre de la démystification. J’aimerais que les spectateurs ressentent un choc critique, un choc de l’intelligence à travers ce qui est montré et entendu sur le plateau.
Quelles idées à l’origine de ce projet ?
Je viens d’un monde où la seule scène qui existe, c’est le rock. L’émotion rock, c’est d’éprouver de l’empathie pour des gens qui ont du charisme et sont là, sur scène, pour produire des effets de toutes sortes. Je travaille avec des comédiens et souhaite vraiment qu’ils assument sur le plateau leur charisme personnel.
Qu’est-ce que ça révèle ?
J’aime qu’il y ait énormément de texte, qu’il fonctionne sous une forme cumulative, voire torrentielle. Que les spectateurs se fassent auditeurs, qu’ils soient totalement submergés, obnubilés par le texte. Je souhaite aussi leur offrir des espaces de retrait pour qu’ils se fassent leur propre avis.
La place de cette pièce dans ton parcours ?
Ça n’a rien à voir avec mes créations précédentes. J’avais le désir de consacrer plus de temps à la mise en scène et ce spectacle est le premier où je travaille avec des comédiens.
Ton urgence ou tes attentes à présenter ce travail aux spectateurs du T2G ?
J’aime l’idée d’inscrire mon propos dans un lieu qui en termes de limite, se définit comme réunissant et absorbant ce qui se fait aujourd’hui en art, en littérature, en danse, en théâtre.
Propos recueillis par Patrick Sourd
DISTRIBUTION
Texte et mise en scène : Christophe Fiat
Assistante à la mise en scène : Stéphanie Cléau
Avec Clémentine Baert, Florence Janas, Marine de Missolz, Laurent Sauvage et Laure Wolf
Compositeur : Pierre-Yves Macé
Vidéaste : Louise Armand
Production : Association Cloudbusters Coproduction (en cours) : Théâtre de Gennevilliers, centre dramatique national de création contemporaine, grü – Théâtre du Grütli (Genève) Avec le soutien du Parc de la Villette dans le cadre des Résidences d’artistes
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